mercredi 15 mai 2013

Une première RÉUSSIE!!!

J'ai invité Valérie à venir imprimer à l'Atelier de l'Ile.

Pour une première ce fut fort agréable!!!

Une belle expérience qui fut très réussie...

La chance des débutants???

Je ne crois pas.

Valérie est une étudiante très sérieuse qui s'est appliqué à graver sa plaque de plexi d'une manière à obtenir des richesses de noirs que seul la gravure peut offrir.

BRAVO VALÉRIE

Voici quelques photos qui en disent long sur cette journée mémorable!    










dimanche 5 mai 2013

Quelques photos dans les alentours de Saint-Colomban!



Photos: Une gracieuseté de Valérie Major.

Aphrodite

Cette sculpture a été réalisée conjointement.
Un projet de collaboration ayant des similarités à notre projet Boréal!   

Réalisée par deux artistes Monsieur Roch Lanthier et Monsieur Michel Giroux; tous deux vivant dans de la région des Laurentides. Vous pouvez l'adimirer dans l'Agora du Cégep de Saint-Jérôme.
Cette sculpture symbolise la cause du cancer du  sein et le temps qui passe.
Voir l'explication ci-jointe.

  

Photos prise par Valérie Major

mardi 30 avril 2013

Les arbres de la fôret boréale

Les espèces boréales


Épinette noire et moussehypnacée
Épinette noire et mousse hypnacée
Les plantes

La forêt boréale grouille de vie. Commençons avec les arbres qui constituent le couvert forestier. On y trouve environ 20 espèces, et la plupart sont des conifères, c'est-à-dire qu'ils produisent des cônes contenant leurs graines. Les épinettes, les sapins, les pins et les mélèzes laricins sont les principales espèces se trouvant dans la forêt boréale canadienne. À l'exception du mélèze laricin, qui perd ses aiguilles chaque automne, ces conifères demeurent verts toute l'année. Des feuillus à larges feuilles caduques, comme le peuplier faux-tremble, le peuplier baumier et le bouleau, sont aussi largement répartis dans toute la forêt boréale.
Les conifères sont particulièrement bien adaptés au dur climat boréal. Leur forme conique réduit l'accumulation de neige sur leurs branches en hiver, de sorte qu'elles ne se brisent pas sous le poids de la neige. Leurs étroites aiguilles sont couvertes d'une épaisse couche de cire les protégeant contre les vents secs. Ces aiguilles sont dotées de minuscules pores qui permettent aux gaz d'entrer dans les arbres et d'en sortir : c'est ainsi qu'ils « respirent ». Ces pores sont enfoncés dans la couche cireuse pour réduire la perte d'eau.
Pour croître, les plantes doivent faire la photosynthèse, un processus qui convertit l'énergie du soleil en nourriture pour la plante. Pour croître lors des courts étés boréaux, les conifères s'adaptent dans le but de maximiser la photosynthèse. Par exemple, comme leur feuillage reste vert toute l'année, les conifères peuvent effectuer la photosynthèse au printemps sans d'abord devoir faire pousser leurs feuilles. Ils peuvent même faire la photosynthèse en hiver, durant des journées plus chaudes.
Les arbres à feuilles caduques, comme le peuplier faux-tremble, sont également adaptés aux conditions boréales. Ils font pousser leurs feuilles pour effectuer la photosynthèse durant l'été, puis les perdent avant les froids d'hiver. Ainsi, les arbres sont moins endommagés par les importantes chutes de neige. Avant de perdre leurs feuilles, les arbres reprennent certains des nutriments qu'elles contiennent en vue de la croissance de la prochaine année. Les peupliers faux-trembles disposent aussi de chlorophylle (cellules vertes nécessaires à la photosynthèse) dans leur écorce, de sorte qu'ils peuvent créer de la nourriture, en hiver, durant des journées plus chaudes.

Peupliers
Peupliers
Toutes ces espèces d'arbres accueillent une variété d'oiseaux, de mammifères et d'autres espèces sauvages. Ils entreposent aussi de grandes quantités de carbone et produisent beaucoup d'oxygène, tellement qu'au printemps et en été, dans l'hémisphère nord, quand les arbres boréaux croissent le plus intensément, les niveaux mondiaux de dioxyde de carbone chutent et ceux d'oxygène augmentent.

Bien que les arbres représentent l'espèce de plante dominante, beaucoup d'autres plantes croissent dans la forêt boréale, y compris des arbustes, des mousses et du lichen. Certains arbustes, comme le saule, l'aulne, le bleuet, le cornouiller stolonifère et le chèvrefeuille, produisent des baies aux couleurs vives ou voyantes qui attirent les oiseaux frugivores et fournissent de la nourriture aux mammifères, tant aux petits rongeurs qu'aux ours.
Sous les conifères, la mousse pousse de façon si épaisse qu'elle forme un tapis complet à la surface du sol, le gardant humide et frais et empêchant beaucoup d'autres types de plantes de pousser. Les aires ouvertes sont tapissées de lichens jaunes, verts et gris pâle. Certains lichens poussent aussi sur le bois. Le lichen est une combinaison de champignons et d'algues qui s'avantagent mutuellement : les champignons sous-jacents offrent un soutien structurel au lichen, alors que la couche gonidiale supérieure dispose de chlorophylle fournissant de la nourriture au lichen grâce à la photosynthèse. Le lichen demeure intact toute l'année et constitue une importante source de nourriture en hiver pour des espèces comme le caribou.
Les terres humides – tourbières et marais – occupent 30 p. 100 de la forêt boréale du Canada. Les terres humides boréales, souvent appelées fondrières ou tourbières, se trouvent généralement sur des terrains plats mal drainés. La matière végétale se décompose lentement là où le sol est frais et humide, formant ainsi une couverture de matière dont l'épaisseur est souvent de plusieurs mètres. La végétation de la tourbière comprend de la sphaigne et d'autres mousses, du carex et des petits arbustes. Les tourbières boisées, composées principalement de mélèzes laricins et d'épinettes noires, sont également répandues. Certaines mousses, comme la sphaigne, sont particulièrement importantes dans les tourbières où elles peuvent créer des milieux acides.
Ces terres humides sont très précieuses : elles filtrent des millions de litres d'eau chaque jour en plus d'offrir un habitat de reproduction, de mue et de rassemblement (de repos et d'alimentation) à plus de 13 millions de canards – environ 40 p. 100 de la population de canards de l'Amérique du Nord.

L'écrit...une autre source d'inspiration!


http://purrien.wordpress.com/category/photo/page/2/

mercredi 24 avril 2013

Je me souviens aussi d'une autre artiste Karen Trask ....

J'ai eu la chance de voir sa magnifique exposition intitulée: Toucher du bois au Centre d'exposition de Val-D'Or. J'ai été très inspirée par son travail...son travail m'inspire toujours...

Je pense que les oeuvres de cette série sont très inspirantes pour mon idée de Boîtiers-Mémoire pour la forêt Boréal...
Qu'est-ce que tu en penses Valérie?
Donne-moi des nouvelles
À suivre...
               

     

    petit message


Lire en Diagonale

writing in circles

elm tree





http://www.karentrask.com/Karen_Trask/Home.html

Un autre artiste québécois en lien avec l'Arbre

J'ai eu la chance de voir cette exposition en 2011 au Centre d'exposition de Val-David!
Des oeuvres qui nous questionnent ...qui nous font voyager...   



Ulysse n’est jamais mort.
Ulysse n’est jamais arrivé à Ithaque.
Ulysse voyage encore et toujours. […]
J’ai imaginé mon nom Moore transformé en Omero.
Puis après, j’ai donné une version Druide de David à ce conte.
 Ça marche de cette façon. Imaginez une autre île, une île culturelle (Québec)
entourée d’un océan culturel (l’Amérique).
Et sur cette île, un endroit qui porte mon nom, Val-David,
 géré par le maire, Madame Davidson.
David Moore

Voilà dans quelle histoire mythique s’inscrit l’installation fabuleuse imaginée par David Moore, au cours des deux dernières années ‑  une œuvre pensée et conçue pour ici. C’est ainsi qu’au Centre d’exposition de Val-David, des bateaux ayant pour voiles des pages de l’Odyssée flottent au rez-de-chaussée avant de remonter dans les airs jusqu’à l’étage où trône l’arbre désormais devenu flûte. Cette année, ces embarcations de bois, David Moore les a mises à la mer, l’Égée, là même où Ulysse allait d’une île à l’autre, en Grèce, là où le sculpteur séjourne si souvent, depuis bien longtemps. À vous maintenant de venir au Centre, vous laisser interpeller par des sons semblables aux chants des oiseaux mais qui n’en sont pourtant pas et de voyager à travers ce territoire émouvant où souffle l’esprit des lieux et du temps. À nous d’y voir, entre la vie et la mort.

Depuis quarante ans, David Moore, artiste québécois d’origine irlandaise, travaille en arts visuels, surtout en sculpture, exposant régulièrement au Canada et en Europe. Il habite au Québec et en Grèce. Son œuvre questionne la place de l’Homme dans l’espace autant que sa perception. Professeur en art à l’Université Concordia, il est élu à l’Académie Royale du Canada en 1995. Il a exposé notamment au Musée d’art contemporain de Montréal et au Musée des Beaux-Arts de Montréal. Signalons aussi, les œuvres monumentales qu’il a réalisées telles Site-Interlude au Musée plein air de Lachine et aLomph aBram, dans la tourelle du Musée national des Beaux-Arts de Québec, à Québec.
M.R.

 Le Centre d’exposition est subventionné par la Municipalité de Val-David


Centre d’exposition de Val-David
2495, rue de l’Église
Val-David, QC  J0T 2N0
819.322.7474